En préambule à ce mémoire, je souhaitais adresser mes remerciements les plus sincères aux personnes qui m'ont apporté leur aide et qui ont contribué à l'élaboration de ce mémoire

Je tiens à remercier sincèrement Monsieur LOIC Depecker , qui, en tant que Directeur de mémoire, s'est toujours montré à l'écoute et très disponible tout au long de la réalisation de ce mémoire, ainsi pour l'inspiration, l'aide et le temps qu'il a bien voulu nous consacrer et sans qui ce mémoire n'aurait jamais vu le jour.

Enfin, j'adresse mes plus sincères remerciements à tous mes proches et amis, qui m'ont toujours soutenue et encouragée au cours de la réalisation de ce mémoire.
Merci à tous et à toutes

Libération, Le Parisien, Le Figaro, Le Monde, l’expresse, Ouest-France, Le Dauphiné libéré, Le Petit Bleu d’Agen, La Voix du Nord et tant d’autres… avec la multiplicité de ses titres qui racontent déjà une histoire, la presse fascine. Deux faits importants ont marqué la naissance de la presse écrite : l'utilisation de l'imprimerie, grâce à l’invention de la typographie par Johannes Gutenberg en 1438, et l’apparition de publications périodiques au début du XVIIème siècle. Dès la Renaissance et jusqu’aux XVIIème et XVIIIème siècles, une partie de l'information écrite était manuscrite, en particulier dans la presse clandestine. Des ateliers de copistes produisaient des journaux appelés "nouvelles à la main". Les premières publications de l’histoire de la presse écrite furent non seulement les nouvelles manuscrites, mais aussi de minces brochures appelées occasionnels, des libelles, des placards (des sortes d’affiches) et des almanachs. Elles se limitaient souvent à de simples feuilles volantes vendues en librairie ou par colportage. En France, le premier grand périodique fut La Gazette : dans un contexte de censure et de contrôle de la presse par l’Etat, son rédacteur, Théophraste Renaudot, avait obtenu dès 1631 un privilège royal lui garantissant le monopole de l'information.
Il fallut attendre la fin du XVIIIème siècle pour voir apparaître le premier quotidien français Le journal de Paris en 1777. L’histoire de la presse au XIXème siècle est également marquée par Le Petit Journal, premier journal français "à sensation" lancé par Moïse Polydore Millaud en 1863 et par la loi sur la liberté de la presse, promulguée le 29 juillet 1881. A la fin du XIXème siècle et au début du XXème, les journaux occupaient une position de monopole qui fut ensuite bouleversée par l’apparition de nouveaux médias : la radio et la télévision. Actuellement on assiste à un recul de la presse écrite, malgré l’apparition de nouvelles formes de journaux comme la presse gratuite ou les magazines au public très ciblé.
La liberté de la presse est garantie par la loi du 29 juillet 1881. Mais la concentration de la presse aux mains de quelques grands groupes internationaux très puissants peut potentiellement nuire à la liberté de la presse, à son pluralisme et à son indépendance vis-à-vis des médias.

Ciblage

J’ai principalement voulu adresser ce mémoire aux étudiants en Langues étrangères appliquées spécialisés en traduction français-anglais, car ils sont tous concernés par les médias et le traducteur doit être toujours au courant de l’actualité et l’unes des sources d’information c’est bien que la presse écrite.

Les limites et le découpage des domaines traités :

J’ai choisi de travailler sur la presse écrite, car je suis intéressé par ce domaine. En effet, avant de venir faire un Master en Traduction, j’ai voulu au début suivre des études en arts et médias mais j’ai fini par choisir la traduction. Et je suis toujours intéressé par la presse et les médias et c’est à travers ce mémoire que j’ai réussi à approfondir mes connaissances en cette matière.

C’était un peu difficile au début de répartir le domaine de presse écrite en sous-domaines, toutefois à travers des recherches documentaires effectuées, j’ai réussi à dégager les termes formant ce corpus et les réunir en sous-domaines.

Et sur la base de la structure d’un journal quotidien que j’ai découpé les domaines à savoir : types de publication, périodicité, métiers, types d’articles, composition d’un article, la rédaction, la Une, la présentation et la production.

Les critères de constitution du corpus et les caractéristiques de ce corpus :

Pour constituer ce corpus, j’ai consulté au tout début le site internet officiel du ministère de la Culture et de la communication pour se faire une idée sur la presse en France en lisant les publications y contenues. A travers les informations fournies par le Centre de Liaison, d’Enseignement et des Médias, d’Information (CLEMI), l’idée sur la presse écrite une France me semblait alors à cette étape bien claire.

Les questions rencontrées et la problématique suivie :

J’ai fait face à plusieurs problèmes au niveau de la synonymie et antonymie, car les termes appartenant au domaine en question sont ceux de spécialité. Il y aussi des termes qui ont des mêmes définitions notamment les types d’articles, ce qui m’a obligé d’approfondir les recherches documentaires pour dégager les nuances et attribuer à chaque terme sa propre terme. Une autres problématique c’est celle d’équivalence, c.à.d. plusieurs termes ont les mêmes équivalents en langue étrangère.

Ministère de la culture et de la communication, www.culturecommunication.gouv.fr

Livre vert : états Généraux de la Presse écrite, par Bernard spitz, délégué à la coordination des états généraux de la presse écrite

Centre de Liaison, d’Enseignement et des Medias d’Information

www.clemi.org/fr

Syndicat national des journalistes

www.snj.fr

Cambridge Advanced Learner’s dictionary, 3rd Edition

www.granddictionnaire.com

www.larousse.fr

www.linternaute.com/dictionnaire/fr

www.press-directory.com