Je tiens à remercier tout particulièrement :
Anita Travigné, employée de la société Cinquième sens, qui m'a laissée consulter les ouvrages spécialisés de la bibliothèque, m'a donnée les premières informations générales. Elle a fait preuve d'une très grande gentillesse ;
Cilgia Chazal, employée de la société Cinquième sens, qui m'a accordé un entretien et m'a expliqué les termes spécifiques. Je l'ai d'ailleurs comme valideur des fiches terminologiques ;
Patrick Meiers, que j'ai rencontré au Musée du parfum à Paris. Il m'a encouragé dans mon entreprise et m'a offert le Dictionnaire du langage parfumé 1994, qui m'a été très précieux pour l'élaboration des fiches terminologiques ;
Gérard Petit qui m'a expliqué les problèmes terminologiques et a relu lesdites fiches ;
Bertrand Lamarche pour son soutien, sa patience et ses compétences informatiques ;
La société IFF (International Flavour and Fragrances) pour ses documents en anglais.
Le présent mémoire terminologique traite de la fabrication des parfums de synthèse.
Très tôt, les parfumeurs-compositeurs, appelés également "nez" ont cherché à recomposer par la voie de la synthèse les matières premières olfactives naturelles. Mais ces parfums de synthèse étaient lin d'être parfaits : les fragrances n'étaient pas rendues à leur juste valeur.
C'est pourquoi, afin d'obtenir un résultat plus fidèle, le docteur Braja.D. Mookherjee, éminent professeur de la société IFF(International Flavour and Fragrances), a mis au point une technologie révolutionnaire pour l'industrie de la parfumerie, la "technologie de la fleur vivante", communément appelé Headspace.
Pourquoi "technologie de la fleur vivante" ?
Tout simplement car le Docteur Mookherjee ne supportait pas que les fleurs soient coupées puis distillées.
De plus, les méthodes d'extraction utilisées jusqu'à présent ne permettaient pas de traiter des fleurs fragiles comme le jasmin par exemple.
La technique du "headspace" consiste à recouvrir la fleur d'un récipient en verre équipé de micro-capteurs qui aspirent l'effluve de la fleur. Une fois recueillie, celle-ci est analysée par chromatographie et spectrométrie afin d'identifier les molécules présentes dans l'effluve et de connaître leur quantité exacte. Munie de toutes ces informations, le parfumeur-compositeur peut reconstituer de façon synthétique le parfum tel qu'il existe dans l'environnement
Mais pourquoi avoir choisi de traiter un sujet sur les parfums ?
Depuis ma plus tendre enfance, je suis fascinée par les parfums et le monde de la parfumerie en général. Ainsi, lorsque j'ai appris qu'il fallait effectuer un mémoire sur un sujet technique, j'ai choisi de lier l'utile à l'agréable.
De plus, dans le cadre de la Maîtrise de langues Etrangères Appliquées, nous devons également effectuer un mémoire de traduction sur un sujet technique. Pour m'éviter de perdre du temps dans mes recherches, j'ai choisi de traduire un livre américain sur les parfums ; les équivalents en anglais étaient ainsi tout trouvés !
Ma première démarche en vue de la rédaction du mémoire terminologique fut de dresser une nomenclature à partir de documents spécialisés. Ce ne fut pas chose facile car, il faut bien le reconnaître, mon sujet est assez pointu.
J'ai donc décidé d'orienter mes recherches en commençant par les informations générales. J'ai donc contacté les différents musées de la parfumerie en France, particulièrement celui de paris et celui de Grasse qui m'ont fourni des informations générales sur les différents modes de fabrication du parfum ainsi que le dictionnaire du langage parfumé 1994 auquel je fais souvent référence dans le corps du mémoire. Mais, mon ambition était surtout de contacter des entreprises et des spécialistes de l'industrie du parfum. J'ai donc consulter le Minitel afin d'obtenir les coordonnées précises de ces sociétés.
Puis, je me suis demandée s'il existait déjà un dictionnaire spécialisé en parfumerie. A part le dictionnaire du langage parfumé 1994, je n'en ai trouvé qu'un seul qui s'apparente beaucoup plus à une liste récapitulative des parfums les plus célèbres mais dans lequel figurent des précisions qui me furent très utiles.
Très vite, je me suis mise en contact avec une société spécialisée en matières olfactives naturelles, Cinquième sens. Au sein de celle-ci, dans un premier temps, j'ai pu visionner des cassettes sur la technique de l'headspace, consulter les ouvrages spécialisés de la bibliothèque qui m'ont été très précieux pour dresser une ébauche de nomenclature. Dans un deuxième temps, j'ai pu obtenir auprès de l'assistante d'un parfumeur-compositeur des explications sur les termes déjà très spécifiques que j'avais pu recueillir. La nomenclature était donc établie à ce stade, les définitions et les contextes également.
Comme on peut très vite le constater, toute la complexité de ce sujet réside dans le fait qu'il ne recouvre pas un domaine bien précis ; en effet, la chimie, la physique, l'industrie de la parfumerie rentrent également en ligne de compte.
Mais je me suis vite heurtée à une autre difficulté lors de la rédaction des fiches terminologiques.
En effet, en raison de mon activité professionnelle, je n'ai pas pu suivre les cours de terminologie en contrôle continu ; ainsi, certaines notions, notamment la différence entre variante et forme concurrente restait pour moi assez floue. J'ai donc fait appel à un membre de ma famille, Gérard Petit, spécialiste en linguistique, pour m'apporter quelques précisions. Je l'ai également choisi comme réviseur des fiches terminologiques.
Du point de vue terminologique, il s'avère que pour un grand nombre de termes, le terme est une forme abrégée de la forme concurrente. Certes, la forme intègre a vocation d'être terme, pourtant l'usage se porte sur la forme abrégée ; j'ai donc choisi de ne pas faire de fiche pour les formes intègres inactives mais de préciser en note linguistique du terme retenu qu'il s'agissait bien d'une forme abrégée statistiquement prédominante.
En d'autres occasions, j'ai rencontré des termes qui isolent le même référent. Ainsi, ces deux termes entrent en concurrence sans que les contextes linguistiques, ni les entretiens, ni même les ouvrages consultés ne permettent de dégager un statut de terme pour l'un d'entre eux. J'ai donc dû conférer à l'un des deux le statut de terme, désigner le second comme forme concurrente tout en précisant en note linguistique que la distinction entre les deux est très subtile. Généralement, lorsque les deux termes sont usités indifféremment dans les textes mais que l'un des deux apparaît dans les dictionnaires spécialisés, j'ai choisi de conférer à ce dernier le statut de terme.
Enfin, les dernières difficultés rencontrées furent d'ordre technique ; en effet, en maîtrise LEA, nous n'avons eu que quelques cours assez généraux sur Access ; ainsi, la mise en page a posé quelques problèmes ; il est en effet très difficile de présenter toutes ces informations sur une seule et même page.
J'espère par ce mémoire avoir éclairci les composantes d'un lexique encore très opaque. Désirant m'orienter vers la traduction de documents ayant trait au monde des cosmétiques ou de la parfumerie, je pense que la rédaction de ce mémoire fut une très bonne entrée en matière.
Charles Bourgeois,Chimie de la beauté, PUF, Que sais-je n° 901.
Le Magnen, Odeurs et parfum, PUF, Que sais-je n° 344.
Edmond Roudnitska, Le Parfum, Que sais-je n°1888.
Edmond Roudnitska, "L'Univers du parfum", Revue Autrement, Essence d'un sens.
Maurice Maurin et Jean-François Blayn, Dictionnaire du langage parfumé 1994, éd. Quarante-huit Publicité, Paris.
Patrick Sermadiras, Dictionnaire des parfums, 11ème édition, éd Sermadiras, Paris.
Anne Barloutaud, Le Headspace, révolution ou évolution ?, Institut supérieur du marketing de luxe, Paris, 1993.
The New York Times Magazine, Living Flowers, february 5, 1989.
Flament, 3D analysis of the volatile constituents of living flowers.
Chastrette, "L'Art de la parfumerie des fleurs aux produits de synthèse", Actualité chimique.
Basset, "Le Parfumeur, le chimiste, le physiologiste", Parfums, cosmétiques et arômes, n° 95.
"L'Analyse headspace des fragrances de fleurs", Dragoco report, janvier 1992.
IFF, La Technologie living flower.
IFF, Headspace-gas Chromatographic Analysis of Medicinal and Aromatic Plants and Flowers.
Musée international de la parfumerie, Vanilles et orchidées, Edisud, Grasse.
Musée international de la parfumerie, Headspace, Grasse.
"Les Analyses headspace de fleurs de jacinthe", Dragoco report, n° 4, 1993.
Raymond, La pratique de la chromatographie en phase gazeuse, Hewlett Packard, division analytique, 1977.
Article sur la quête des odeurs, VSD, 21.04.99.
Brochures du Musée Fragonard et du Musée International de la Parfumerie de Grasse.
De la rose à l'alambic, videocassette éditée par IFF.
http://www.neblina.net.
Consultation de la banque de données EUTERPE.
Organismes consultés:
Musée Fragonard, 9, rue du Scribe, 75009 Paris.
Cinquième sens, 18, rue de Montessuy, 75007 Paris.
IFF (International Flavours and Fragrances), 47, rue Victor Hugo, 92270 Bois-Colombes.
Dragoco, 51, avenue Flachat, 92600 Asnières.
Givaudan-Roure, 55, voie des Bans, 95102 Argenteuil.
Maison du dictionnaire, 98, bd Montparnasse, 75014 Paris.
Musée International de la Parfumerie, Grasse.
Société Française des Parfums, 18, rue Le Sueur, 75016 Paris.
Comité Français du Parfum, 8, place Général Catroux, 75017 Paris.
ISIPCA (Institut Supérieur International du Parfum, de la Cosmétique et de l'aromatique alimentaire), 36, rue du Parc de Clagny, 78000 Versailles.
Terme |
Définition |
Cat. grammat. |
Domaine |
Sous-domaine |
absolue |
matière première odorante naturelle obtenue par extraction à l'alcool des concrètes de plantes |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
adsorbant |
matériau qui produit l'adsorption |
n.m. |
science et technique |
chimie |
adsorber |
Retenir, fixer par adsorption |
v. |
science et technique |
chimie |
adsorption |
rétention à la surface d'un solide des molécules d'un gaz ou d'une substance en solution ou en suspension |
n.m. |
science et technique |
chimie |
analyse chromatographique |
Analyse des molécules contenues dans l'effluve recueillie, avec leur quantité |
n.f. |
science et technique |
chimie |
ballon |
Récipient qui recueille l'inflorescence |
n.m. |
science et technique |
biotechnique |
biotechnologie |
Ensemble des méthodes utilisant les données et les techniques de l'ingéliérie et de la technologie mettant en œuvre des organismes vivants ou des enzymes pour réaliser des transformations utiles en chimie, en pharmacie, en industrie agroalimentaire |
n.f. |
science et technique |
biologie |
branchement |
fine tige de verre fixée au ballon dans laquelle est insérée le micro-capteur |
n.m. |
science et technique |
biotechnique |
capillaire |
restricteur constitué par un tube de très faible diamètre |
n.m. |
science et technique |
physique |
capillaire d'adsorption |
capillaire contenant l'adsorbant |
n.m. |
science et technique |
physique |
captation |
action de capter l'effluve d'une fleur |
n.f. |
science et technique |
biotechnique |
charbon actif |
adsorbant qui se trouve dans le micro-capteur |
n.m. |
science et technique |
chimie |
chimie olfactive |
fait de reproduire des odeurs naturelles de façon synthétique |
n.f. |
science et technique |
chimie |
chromatogramme |
tracé graphique obtenu sur le chromatographe |
n.m. |
science et technique |
chimie |
chromatographe |
appareil utilisé lors de la chromatographie en phase gazeuse |
n.m. |
science et technique |
chimie |
chromatographie en phase gazeuse |
analyse qui permet de séparer des mélanges complexes d'éléments volatils pour retrouver leurs composants individuels |
n.f. |
science et technique |
chimie |
chromatographie en phase gazeuse / spectrométrie de masse |
la chromatographie en phase gazeuse permet de séparer des mélanges complexes d'éléments volatils pour retrouver leurs composants individuels;la spectrométrie de masse permet de caractériser et d'identifier les différentes composants |
n.f. |
science et technique |
chimie |
cloche |
récipient de forme ronde qui recouvre la fleur |
n.f. |
science et technique |
biotechnique |
composant de trace |
composant olfactif présent en quantité infime |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
composant mineur |
constituant à peine perceptible d'un parfum |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
composant olfactif |
élément d'un parfum qui arrive jusqu'à notre odorat |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
composant secondaire |
élément qui constitue un parfum mais qui se trouve en quantité moins importante que les éléments principaux |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
composant volatil |
élément qui émane d'une fleur |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
concentration |
état de la composition telle qu'elle se présente à l'issue du travail de préparation |
n.f. |
science et technique |
chimie |
concentré |
matières premières naturelles ou synthétiques à l'état pur, non diluées |
n.m. |
science et technique |
chimie |
concrète |
résultat de l'extraction aux solvants volatils,Etape antérieure à l'obtention de l'absolue |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
corps captif |
molécule généralement de synthèse, d'un intérêt particulier et nouveau en parfumerie, ne faisant pas toujours l'objet d'un brevet et dont l'inventeur se réserve l'usage |
n.m. |
science et technique |
chimie |
CPG-sniffing |
technique visant à humer le courant de gaz porteur dans de l'air humidifié après la chromatographie |
n.m. |
science et technique |
chimie |
cristallisation |
action de cristalliser |
n.f. |
science et technique |
chimie |
cristalliser |
figer un constituant en baissant la température,on peut ainsi l'isoler |
v. |
science et technique |
chimie |
désorbant |
matériau qui produit la désorption |
n.m. |
science et technique |
chimie |
désorber |
emettre des molécules gazeuses par désorption |
v. |
science et technique |
chimie |
désorption |
émission de molécules de gaz ou de liquide préalablement adsorbées par la surface d'un solide |
n.f. |
science et technique |
chimie |
effluve |
Odeur qui se dégage spontanémént d'une composition |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
enquête spectrométrique à résonance magnétique nucléaire |
analyse qui permet de savoir la quantité de molécules présentes dans un mélange |
n.f. |
science et technique |
chimie |
equilibre olfactif |
aspect homogène d'une composition olfactive, Les accords restent durables |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
espace de tête |
voir " headspace" |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
essence |
autre nom pour désigner les huiles essentielles obtenues de l'extraction des plantes aromatiques,L'obtention de l'essence ne fait pas intervenir de produits chimiques |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
extraction |
prélèvement d'un ou de plusieurs constituants d'une matière première par l'emploi de méthodes diverses:distillation, dissolution, expression, enfleurage etc,,, |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
extrait |
forme la plus concentrée d'un produit fini et donc la plus sophistiquée et la plus coûteuse |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
fixateur |
matière première animale visant à prolonger la durée de vie du parfum dans son flacon ainsi que l'effet sur la peau |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
fixation |
utilisation de fixateurs |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
fixer |
action d'ajouter un fixateur à une composition olfactive |
v. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
fragrance |
terme élégant pour désigner le parfum |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
harmonie |
on peut parler d'harmonie lorsque tous les éléments d'une formule sont bien équilibrés |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
headspace |
analyse visant à isoler, séparer et identifier les composants volatils d'une fleur ou d'un fruit sans provoquer la moindre dégradation de la matière vivante |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
hexane |
solvant volatil fréquemment utilisé lors de l'extraction |
n.m. |
science et technique |
chimie |
identification |
fait d'identifier les molécules et leur pourcentage contenu dans une composition olfactive |
n.f. |
science et technique |
physique analytique |
inflorescence |
mode de groupement des fleurs sur la tige d'une plante |
n.f. |
science et technique |
botanique |
matière olfactive naturelle |
composant olfactif d'une odeur présent à l'état naturel |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
matière première synthétique |
reconstitution par voie de synthèse de matières premières odorantes |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
mélodie olfactive |
suite d'effets odorants considérés dans le temps et qui se succèdent tout au long de l'évaporation du parfum |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
micro-capteur |
objet qui permet de capter l'effluve d'une fleur;contient le charbon actif |
n.m. |
science et technique |
biotechnologie |
molécule aromatique de synthèse |
résultat de la synthétisation de molécules odorantes à l'état naturel |
n.f. |
science et technique |
chimie |
molécule définie |
molécule déjà identifiée, déjà connue du monde de la parfumerie |
n.f. |
science et technique |
chimie |
molécule identique nature |
on reconstitue fidèlement une molécule par rapport à son existence à l'état naturel |
n.f. |
science et technique |
physique analytique |
molécule odoriférante |
molécule qui porte l'odeur |
n.f. |
science et technique |
chimie |
note |
caractéristique de l'oduer d'une matière première ou d'une composition |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
olfactif |
ce qui a trait à la perception des odeurs |
adj. |
science et technique |
biologie |
olfactométrie |
technique de mesure basée sur l'odorat |
n.f. |
science et technique |
biotechnologie |
olfactométrique |
ce qui a trait à l'olfactométrie |
adj. |
science et technique |
biotechnologie |
pic chromatographique |
courbe très élevée apparaissant sur le chromatogramme |
n.m. |
science et technique |
chimie |
pompe |
appareil qui aspire l'effluve de la fleur placée sous cloche |
n.f. |
science et technique |
biotechnologie |
produit défini |
composant aromatique déjà identifié et connu du monde de la parfumerie |
n.m. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
spectromètre |
appareil utilisé lors de la spectrométrie de masse |
n.m. |
science et technique |
chimie |
spectrométrie de masse |
Analyse qui permet de caractériser et d'identifier les différents composants |
n.f. |
science et technique |
chimie |
substance aromatique |
matière dégageant une odeur |
n.f. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |
synthétiser |
reconstituer les molécules odoriférantes par voie de synthèse |
v. |
science et technique |
chimie |
taux de concentration |
pourcentage de molécules odoriférantes par rapport au nombre de molécules totales comprises dans le volume |
n.m. |
science et technique |
chimie |
technologie de la fleur vivante |
voir Headspace |
n.f. |
science et technique |
biotechnologie |
volatil |
se dit d'une odeur s'évaporant très rapidement |
adj. |
science et technique |
industrie de la parfumerie |